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dimanche 10 mars 2013

The G 63 AMG 6x6 showcar

                       The G 63 AMG 6x6 showcar - latest member of the G-Class family



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Le Range Rover Evoque


Il est vrai que depuis quelques mois et la présentation du nouveau Range Rover au Mondial de Paris, l'Evoque était quelque peu sorti des projecteurs. Mais le voici qui revient dans une édition limitée qu’il ne sera pas possible d’ignorer tant elle est... "flashante".

 C’est au salon de l’automobile de Bruxelles, qui a ouvert ses portes ce 11 janvier, que l’Evoque Sicilian Yellow Limited Edition (jaune de sicile) s’est dévoilé.

Ne nous attendons pas à un flot de nouveautés sur le crossover des beaux quartiers. Les changements sont purement stylistiques et ont pour but de recentrer les regards sur le modèle. C’est donc sur les coloris que Land Rover a misé.

Plutôt jaune ou noir?

Étrange coïncidence, Smart vient également de présenter de son côté une série limitée, la Fortwo Cityflame. Et elle aussi arbore les mêmes couleurs que cet Evoque Sicilian Yellow: jaune et noir. Le baroudeur sera en effet décliné en deux packs différents.

 Dans le premier, proposé en série limitée, la carrosserie est entièrement jaune, tandis que le toit flottant reste noir. Sur le second, qui restera au catalogue sous le nom de Black Pack, les teintes sont complètement inversés. A noter que les coques de rétroviseurs adoptent la couleur du toit et que les jantes restent noires.

L’intérieur est quant à lui unique aux deux modèles, à dominante noire avec quelques touches de jaune çà et là.

35 exemplaires pour la France

Basé sur la finition haut de gamme Dynamic, ce Range Rover Evoque Sicilian Yellow s’accompagne d’un spoiler arrière, d’optiques avant teintées, de jantes de 20 pouces ainsi que de sorties d’échappement sombres. La version "black pack" également dérivée de la version Dynamic sera lancée simultanément.

Proposés en trois et cinq portes, ce Range Rover Evoque jaune pourra être accompagné de les motorisations qui l’équipent habituellement. En revanche, seuls 35 exemplaires de l'Evoque Sicilian Yellow seront dévolus au marché français. Avec une production prévue pour avril, les premières livraisons pourraient intervenir dès mai.
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GMC Yukon et Sierra Heritage

Le constructeur GMC, membre de la galaxie GM, fête cette année le centenaire de son appellation actuelle. Pour marquer le coup, la firme du Michigan, non importée en France, présentera une finition "Heritage Edition" du SUV Yukon (photo), de sa version longue Yukon XL et du pick-up Sierra (voir ci-dessous) au salon de New York (du 6 au 15 avril). 

Ces séries spéciales se distinguent par des badges "Héritage Edition" apposés sur la carrosserie, des tapis de sol et des appuie-têtes avant brodés, des coques de rétroviseurs, poignées et tours de portières chromés ainsi que par des jantes en aluminium poli de 20 pouces.

"Bleu héritage"

Les Yukon, Yukon XL et Sierra Heritage Edition reçoivent de série l'aide au stationnement arrière, une caméra de recul ou encore des sièges avant en cuir électriques à mémoire avec 10 positions de réglage. Trois nouvelles teintes sont proposées au nuancier: le "Bleu Héritage", le "Blanc Diamant" et le "Noir Onyx".

Le SUV Yukon et sa version XL sont également connues sous les noms de Tahoe/Suburban chez Chevrolet et Escalade/Escalade ESV chez Cadillac. De son côté, le pick-up Sierra est un Chevrolet Silverado rebadgé.

Une histoire de noms

La marque GMC Truck apparaît pour la première fois sous ce nom au salon de l'automobile de New York en 1912. Auparavant, l'entreprise créée à Détroit en 1910 par Max Grabowski se nommait The Rapid Motor Vehicle Company avant d'être rattachée à General Motors en 1909 pour devenir General Motors Truck Company. En 1996, le nom de GMC Truck est tronqué pour devenir tout simplement GMC.

GMC est considérée comme la marque bon marché du Groupe GM sur le marché américain

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Genève 2013: Lancia Ypsilon Elefantino




Faute de nouveautés, Lancia entend en Suisse capitaliser sur sa gamme actuelle. Et pour cela décline de nombreuses séries spéciales.  C’est ainsi que la citadine Ypsilon s’expose par exemple dans sa dernière version Elefantino.

Depuis huit décennies l’éléphanteau bleu habille régulièrement une Lancia (c’est en 1953 que Gianni Lancia avait choisi cet emblème pour décorer l’écurie de course de la marque). L’Ypsilon cède de nouveau à la tentation se posant comme nouvelle version d’entrée de gamme et alternative à la version Silver.

Elle sera déclinée à travers plusieurs livrées de carrosseries (blanc neige, beige sable, gris pierre) dont les inédites teintes turquoise et bi-tons turquoise et noir volcan. A noter aussi le dessin des calottes de rétros ou les poignées ton carrosserie sans évidemment oublier le  logo arrière Elefantino.

A bord, les spécificités sont discrètes pour un traitement qui offre sièges en tissu noir avec coutures turquoises ou fuchsia ou encore finition chromée sur la planche de bord. La Lancia Ypsilon Elefantino sera commercialisée à partir du deuxième trimestre de l’année sans indications tarifaires pour l’heure.

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Genève 2013 : Exagon Furtive e-GT


En un peu plus de 2 ans, Exagon Motors est passé d’OVNI de salon à proposition concrète et crédible. La supercar électrique française s’expose à Genève pour ce qui devrait être l’un des derniers salons avant ses premières livraisons toujours prévues pour le deuxième semestre de cette année.

Après tout, puisque Fisker, mais surtout Tesla ont réussi à partir d’une feuille blanche pour arriver au succès (techniques du moins) que sont les Tesla Roadster, Tesla X ou Fisker Karma, pourquoi un nouveau constructeur français ne le pourrait-il pas ? Développant 402 chevaux grâce à deux moteurs électriques Siemens, cette Furtive e-GT est capable de performances de premier plan. 0 à 100 km/h en 3,5 secondes, 250 km/h en pointe (limitée), la Furtive e-GT pousse fort.

Coté autonomie, Exagon revendique 310 km en cycle NEDC ou 287 km selon l’EUDC (autoroute). La batterie Saft accepte les recharges sous forte puissance et 32 minutes suffisent à avoir 80% de la charge (pour peu que l’on dispose d’une borne de forte puissance sous la main). Son châssis et sa carrosserie carbone, ainsi que ses dessous de sportive ont été éprouvés et approuvés sur différents circuits. Alors ? Tentés de passer commande ? Comptez 400 000 euros environ pour la douloureuse.
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Renault Clio Vs Toyota Yaris



La France raffole des petites voitures polyvalentes. Depuis le lancement de la 2CV en 1948, ce type d’automobile est aussi populaire en ville qu’à la campagne. Chez nous, les petites voitures doivent assurer le service quotidien mais aussi se prêter à l’exercice du départ en vacances ou même de la virée chez Ikea. En somme, ce sont des bonnes à tout faire qui continuent à représenter dans notre pays la catégorie de voiture la plus vendue du marché.

C’est sans doute pourquoi les petites voitures françaises ont été les parmi les premières à offrir des capacités routières convenables et à se doter de motorisations Diesel. La Peugeot 205 a ouvert le bal en septembre 1983, bientôt suivie par la Citroën Visa Diesel (mars 84) puis par la Renault Supercinq GTD. Hormis Fiat et Ford, les constructeurs étrangers ont tardé à se convertir au moteur à combustion spontanée. Si la Fiat Uno a reçu le sien dès juin 1983, la Volkswagen Polo a attendu 1986 et l’Opel Corsa 1987 pour inaugurer les leurs. Et ces dernières ont dû patienter encore plus d’une décennie avant d’hériter de trains roulants décents. 


Depuis, la formule n’a jamais cessé de remporter le succès, à tel point que pratiquement tous les constructeurs généralistes proposent des citadines Diesel. Même Toyota continue à s’y plier, alors qu’il compte dans sa gamme un modèle hybride performant (lire notre essai Toyota Yaris Hybrid). Il est vrai que la Yaris revendique des gènes français : elle a été dessinée dans le centre design de Toyota à Sophia Antipolis et est intégralement fabriquée dans l’usine de Valenciennes, qui exportera même à partir de l’année prochaine les modèles destinés aux Etats-Unis. Un exemple de "made in France" qui n’est pas suivi par Renault : la toute nouvelle Clio est fabriquée en Turquie à Bursa aussi bien qu’en France à Flins.

La Yaris tout comme la Clio sont des voitures très récentes : la Yaris fête à peine son premier anniversaire, alors que la Clio vient tout juste d’être lancée. Il s’agit donc de citadines particulièrement modernes, même si leur philosophie n’est pas tout à fait identique. La Clio est en effet l’une des plus imposantes du segment avec 4,06 m de long, soit précisément 18 cm de plus que les 3,88 m de la Toyota. A ce niveau de gamme, l’écart est énorme. Ces centimètres profitent au style de la Renault, nettement plus flamboyant. Laurens Van den Acker, le patron du style Renault a réussi son coup. La Yaris affiche pour sa part un style plus conventionnel même s'il ne s'agit pas de la plus ennuyeuse des Toyota.


Malheureusement, les lignes flatteuses de la Française se paient au prix fort en matière d’habitabilité. Malgré son gabarit généreux, la Clio offre à peine plus d’espace à bord que la Toyota. A l’arrière, les passagers sont un peu mieux assis mais ne profitent pas d’un rayon aux genoux ou d’une garde au toit supérieurs. Un comble ! Même constat pour le coffre : avec  286 litres, celui de la Yaris ne rend que 10 litres à celui de la Clio. Vous l’aurez compris, la Yaris inflige à la Renault une sévère punition en ce qui concerne le rapport encombrement habitabilité.

La différence de style est également perceptible dans l’habitacle. La Clio affiche une présentation beaucoup plus gaie. Gare toutefois au choix des couleurs : notre modèle gris à décoration rouge avec insert chromé sur le volant enfreignait résolument les règles du bon goût. La finition apparaît moyenne dans les deux cas. Si la Clio offre quelques matériaux plus valorisants sur la planche de bord, elle trahit quelques sérieuses économies de réalisation. Les plastiques de contre-porte indigents, les ajustages moyens tranchent avec le sérieux de sa devancière. La Toyota fait appel à des matériaux plus homogènes mais pas vraiment plus flatteurs. Et là aussi certains ajustages laissent à désirer. Nos deux rivales paient ici le prix de la course à la légèreté.


Du côté des moteurs, la Renault profite du savoir-faire de son constructeur en matière de Diesel. Le 1.5 dCi se montre en effet nettement plus agréable à l’usage que le D-4D Toyota. Très civil à bas régime, il délivre ses 90 ch et 220 Nm avec douceur, alors que le moteur japonais, fort lui aussi de 90 ch et 205 Nm s’avère moins coupleux à bas régime et plus brutal à partir de 2.000 tours. Il apparaît également plus sonore et plus gourmand. Sur un parcours mixte de 500 km, sans activer le mode Eco, nous avons relevé une moyenne de 5,2 litres aux 100 km sur la Clio, dont l’ordinateur de bord pêche par excès de pessimisme. La Toyota Yaris apparaît plus gourmande et réclame presque un litre de plus dans des conditions de roulage équivalentes. Un écart en partie dû à l’absence de système d’arrêt démarrage, lequel se montre particulièrement véloce et discret sur la Clio. Par ailleurs, la française affiche 1071 kg sur la balance contre 1.140 Kg pour la Toyota.

En ville, la Yaris domine sa rivale. Elle se révèle facile à garer et  manœuvrer grâce à son gabarit réduit, sa meilleure visibilité périphérique, sa caméra de recul disponible dès le troisième niveau de finition et son rayon de braquage inférieur : 4,7 m contre 5,5 m pour la Clio. Toutefois, la Clio se montre un peu mieux protégée contre les accrocs éventuels grâce à ses larges protections latérales.


Sur la route, la Renault prend l’avantage. A la fois rigoureuse et bien amortie, elle offre un confort de suspension supérieur à celui de la Yaris au dessus de 50 km/h. Celle-ci se révèle cependant plus moelleuse à basse vitesse : là encore, la ville est son terrain de prédilection. Plus précise, la direction de la Clio inspire confiance : elle ne donne pas le sentiment d’être au volant d’une "petite" voiture.   

La Renault Clio est proposée au tarif de 19.900 € dans notre finition Dynamique, à comparer aux 18.950 € de notre Yaris Lounge. La Clio compense cependant son prix supérieur par un équipement de série plus généreux. Elle offre en effet d’office le toit panoramique, le GPS avec cartographie France, le Stop Start et le régulateur de vitesse. La Yaris ne dispose pas de régulateur de vitesse avec le moteur Diesel, même en option. Une lacune incompréhensible. Face à la Clio, elle ne peut faire valoir que sa caméra de recul qui n’est proposée chez Renault qu’avec l’option R-Link, laquelle n’est pas encore disponible en concession.  
  
La Renault Clio et la Toyota Yaris répondent toutes deux à un usage un peu différent. Mieux adaptée à la ville grâce à son format plus raisonnable et son rayon de braquage plus élevé, la Yaris s’affiche comme une véritable citadine. Elle démontre également que Toyota ne maîtrise pas aussi bien la motorisation Diesel que l’hybride. Grâce à son comportement routier plus rigoureux, son plus grand confort de suspension, sa sobriété et son équipement plus moderne, la Renault se montre plus polyvalente malgré son habitabilité décevante. L'honneur des citadines "à la française" est sauf !

En résumé
Renault Clio dCi 90 ch Dynamique
19.900 € Bonus 2013 : 550 € 
Les plus
Style valorisant
Comportement routier
Moteur docile
Equipement complet

Les moins
Détails de finition
Rapport encombrement habitabilité
Toyota Yaris D4-D Lounge
18.950 € Bonus 2013 : 200 €
Les plus
Rapport encombrement habitabilité favorable
Facile à garer
Confort à basse vitesse

Les moins
Moteur brutal
Consommation relativement élevée
Pas de régulateur de vitesse, même en option
» Confort
4/5
» Prix / Equipements
4/5
» Performances
3/5
» Consommation
5/5
» CO2
5/5
» Confort
4/5
» Prix / Equipements
4/5
» Performances
3/5
» Consommation
3/5
» CO2
4/5
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Kia Cee’d GT et ProCee’d GT




Jusqu’à présent, quand on pensait voiture coréenne, on ne pensait pas vraiment sportive mais on sentait bien que les constructeurs y songeaient, et dans le cas de Hyundai s’y sont même mis. C’est le tour de Kia avec une déclinaison GT qui arrive simultanément pour la Cee’d et la Procee’d. 


Les codes du genre y sont : suspension surbaissée, grandes roues, éléments aérodynamiques avec rappels de couleur vive, sièges Recaro enveloppants et alcantara… On ne saurait s’y tromper, même en regard du concept Provo beaucoup plus teigneux exposé à Genève avec les deux nouvelles arrivées. La mécanique est un 1,6l turbo de 204 chevaux et 265 Nm de couple maxi couplé à une boîte manuelle pour les deux autos, qui en dehors de leur carrosserie partagent à peu près tout le reste. Les performance annoncées sont 7,7 secondes de 0 à 100 km/h et 230 km/h en pointe.


La production démarre en mai, et les 500 premiers exemplaires de la Procee’d feront l’objet, un peu comme l’Alfa Romeo 4C, d’une édition spéciale « 1st edition ». On y reviendra dans quelques semaines.
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