Chrysler 300 Glacier Edition

 

Après de multiples éditions spéciales et limitées telles que la Motown Edition pour ne citer que la dernière en  date, voici que le constructeur américain Chrysler dévoile une énième édition de sa 300, appelée Glacier Edition et disponible uniquement pour les États-Unis.

Se basant sur la finition S de la Chrysler 300, cette édition Glacier se pare de rétroviseurs et fonds des optiques avant en noir brillant, d’une calandre avant avec lamelles horizontales du même traitement. Elle s’équipe également de jantes sur mesure en 19 pouces avec finition Satin Carbon chaussées avec des pneus toutes saisons en 235/55R19.

Les acheteurs pourront choisir entre trois couleurs de carrosserie : Bright White, Billet Silver Metallic et exclusivement pour ce modèle, Glacier Blue Pearl Coat. En option, le toit pourra être peint en noir brillant.

A l’intérieur, tous les modèles Glacier Edition seront équipés avec des sièges sport dont le centre des sièges est en tissu noir et les côtés en cuir noir. Pour renforcer son exclusivité, les coutures seront faits main. L’habitacle s’orne également de différents éléments en finition Black Piano tels que la console centrale, le tableau de bord, le volant, l’instrumentation et quelques éléments des panneaux de portes. Enfin, quelques touches de carbone mat (obtenus par transfert hydrographique) et des tapis de sol brodés noirs complètent l’édition spéciale.

Côté motorisation, la Chrysler 300 Glacier Edition sera combinée de série avec le moteur V6 Pentastar de 3,6l de cylindrée développant 300ch ou en option, avec le moteur V8 HEMI 5,7l de 363ch associé avec la boîte automatique à 8 rapports et la transmission à 4 roues motrices. Disponible dès maintenant chez les concessionnaires américains, la version V6 coûte 36 845$ (soir 27 665€).

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Genève 2013 : restylage pour la Citroën C3

 

Outre notamment le Technospace Concept, Citroën profitera du prochain salon de Genève pour y mettre en valeur la C3 restylée. La version qu’on connait aujourd’hui, génération II découverte en 2009, s’exposera ainsi quelque peu retouchée sur le plan cosmétique. Sur un segment hyper concurrentiel et alors que les reines françaises du segment viennent de totalement faire peau neuve (Clio IV et 208), la C3 tentera ainsi de tirer son épingle du jeu commercial.

Après avoir vendu près de 3 millions d’exemplaires depuis le lancement du modèle en 2002, Citroën révélera la C3 restylée dans quelques jours au salon de Genève. Une opération chirurgicale de milieu de vie qui se laisse surtout découvrir au niveau de la face avant, une face avant modernisée et plus raccord avec les derniers canons stylistiques insufflés au sein de la gamme.

On peut ainsi découvrir la dernière signature au niveau de la calandre et des chevrons, les bandeaux de feux jour à leds et le bouclier. L’arrière semble clairement moins retouché à l’exception du dessin des feux. On pourra aussi choisir entre de nouvelles livrées de carrosserie. A bord Citroën promet des matériaux de meilleure qualité pour une perceptible montée en gamme et de menues retouches à l’instar de nouveaux garnissages. Évidemment, la nouvelle Citroën C3 conserve son incontournable pare-brise Zenith, marque de fabrique.

Au niveau mécanique, on retrouvera la dernière génération des petits moteurs Puretech, des 1,0 l et 1,2 l offrant de 68 ch à 120 ch ainsi que, selon les marchés, les motorisations HDI connues : 1,4 HDi de 70 ch,  1.6 e-HDi de 92 ch et le 1,6 e-HDi de 115 ch. Notons au passage que les émissions du 1,4 HDi de 70 ch culminent à 87 g/km de CO2.

Quant aux équipements intégrant la gamme, pas de changements sauf, en option, l’arrivée de la caméra de recul. La nouvelle Citroën C3 sera commercialisée dans le courant du printemps, en avril, sans que les tarifs ne soient encore dévoilés. Plus d’informations à Genève sans doute.

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Chevrolet Prisma 2013

 

Avec la Prisma, Chevrolet achève une importante phase de lancement de produits sur le marché brésilien. Produits pour l’essentiel développés localement suivant une stratégie entamée avec la première génération de  Prisma en 2006.

En 2006, la Prisma était la première voiture développée localement par le bureau d’études GM au Brésil. Depuis, les importants investissements ont mené à une montée en puissance de cette unité, qui aura lancé ces dernières années les Agile, Cobalt, Spin, Onix et enfin la nouvelle Prisma. Tout en prenant part au développement du TrailBlazer. Des produits destinés au marché local, mais aussi international à l’image de la Cobalt qui arrivera prochainement en Russie, ou du monospace Spin en Asie. Pour sa part, la Prisma affronte au Brésil les Volkswagen Voyage, Fiat Siena, Renault Logan et la future Hyundai HB20 tricorps.

 

La Prisma complète par le bas l’offre de berlines Chevrolet au Brésil. Une gamme composée dans l’ordre de tarification de Prisma, Cobalt, Sonic, Cruze, Malibu. 5 modèles, dont 3 sur le segment B. Moins chère, la Prisma n’entend pas jouer les modèles de pacotille, avec un style qui s’affirme aussi comme plus dynamique et jeune que la Cobalt, s’adaptant à sa cible de clientèle différente. Mieux encore, la Prisma n’apparait pas comme une Onix (dont elle conserve l’empattement de 2528 mm) dotée d’un sac à dos et rarement une berline tricorps de ce segment n’a montré des proportions aussi équilibrées. La longueur atteint 4275 mm. Ce qui ne l’empêche pas de proposer un volume de coffre appréciable de 500 litres.

La précédente Prisma reprenait la base ancienne de la Corsa B, la nouvelle reprend la base GM Global Small Vehicle également utilisée  pour les Spin ou Sonic (alias Aveo). La nouvelle génération devrait donc faire un bond en qualités routières. Moderne aussi par son équipement avec de série la direction assistée, le radar de recul, l’ABS, les airbags frontaux ou encore le siège conducteur réglable en hauteur. On retrouve aussi l’instrumentation partiellement numérique ou encore l’écran tactile avec le système MyLink (navigation, téléphone Bluetooth, radio internet…). Selon es versions et options, la Prisma peut aussi recevoir un accès mains-libres ou encore une caméra de recul.

Au chapitre mécanique, on retrouve les moteurs 1,0l et 1,4l de 80 et 106 ch, avec boîte manuelle à 5 rapports. Deux moteurs qui sont adaptés au fonctionnement à l’éthanol (78 et 98 ch avec ce carburant).

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La Cadillac CTS débarquera à New-York

 

A présent que la phase de lancement et de montée en puissance de l’ATS s’achève, Cadillac prépare la suite de son programme, à savoir le renouvellement de la CTS. L’opération débutera en avril avec la révélation au salon de New-York, avant une commercialisation avant la fin de l’année.

Avec sa première génération, c’est véritablement la CTS qui a remis la marque Cadillac sur les rails, en lui procurant à nouveau une aura permettant de rivaliser avec les marques de haut de gamme japonaises ou allemandes sur son marché intérieur. La seconde génération a confirmé en amorçant un début d’internationalisation. La troisième génération aura pour tâche de prolonger cet effort, en particulier en Chine où Cadillac reste loin derrière les allemands.

L’ATS a donné le ton en termes d’évolution de style, et la CTS devrait continuer dans la même veine avec des optiques plus effilées s’aventurant plus loin vers le haut des ailes accentuant. Mais surtout, la CTS prendra ses distances par rapport à sa petite sœur en termes de dimensions et se positionnera de façon plus claire face aux Série 5 , A6 ou Classe-E. Arrivée prévue en berline au salon de New-York en avant première, puis commercialisation vers l’automne. Un coupé pourrait suivre, mais le break ne devrait pas être prolongé.

2013 sera aussi pour Cadillac l’année du renouvellement de l’Escalade. Un modèle fort en image et qui devra réussir sa transition vers un modèle moins empreint du gigantisme à l’américaine qui prévalait encore voici quelques années, mais qui n’est plus guère d’actualité.

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Buick Enclave 2013

 

Désormais accompagné par le plus petit Encore, le Buick Enclave continue d’évoluer plutôt que radicalement changer. La dernière version, déjà introduite sur le plan commerciale en Amérique du nord, prend la température dans les allées du salon de Detroit.A l’image des ses compagnons GMC Acadia et Chevrolet Traverse, le Buicke Enclave de dernier millésime vient d’évoluer sans tourner la page de la première génération découverte en 2007. Comme on avait pu le mettre en avant lors de sa présentation première durant le salon de New-York, les évolutions cosmétiques extérieures ne révolutionnent pas son style.

A bord, les garnitures des portières, la planche de bord ou les commandes ont aussi changé. Un éclairage d’ambiance au ton bleu vient lui donner une touche supplémentaire.  Quant à la liste des équipements de confort ou de sécurité, elle s’est logiquement enrichie comme avec par exemple l’arrivée de la caméra de recul ou le radar de collision latérale.

Offrant de 660 l à 3263 l selon la configuration (banquettes rabattues ou pas), l’Enclave ne bouge pas sur le plan mécanique. Il offrira le choix entre le V6 3,6 l de 288 ch et 366 Nm et le V6 3,6 l de 288 ch et 366 Nm. Le Buick Enclave s’affiche au prix d’appel de 38 445 $ sur son marché domestique.

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Bugatti Veyron 16.4 Grand Sport Vitesse Rafale

Le roadster le plus terrifiant et puissant de la planète automobile vient de poser ses quatre caoutchoucs en Amérique du Sud profitant alors du salon de Sao Paulo pour se décliner à travers un nouveau modèle unique. Cette fois le cabriolet le plus rapide jamais construit en série se dévoile donc sous un nom long comme un jour sans pain : Bugatti Veyron 16.4 Grand Sport Vitesse Rafale. Ouf, vous pouvez reprendre votre souffle…Toutes les occasions sont bonnes et tous les salons précieux pour écouler les châssis restants sur les bras de la firme de Molsheim… L’intemporelle et radicale Bugatti Veyron 16.4 Grand Sport Vitesse s’expose donc à travers l’unique modèle Rafale à l’occasion du salon de Sao Paulo.

De quoi séduire un éventuel client sud-américain (ou autre du reste) qui se soulagera de 1,90 million d’euros quand le tarif de base d’une Grand Sport Vitesse s’affiche à 1,69 million d’euros (hors taxes et transport).  Quid des spécificités de ce modèle là ? Comme son nom l’indique, on découvre une grande partie de la carrosserie habillée du ton gris Rafale se combinant à de la fibre de carbone apparente en bleu foncé pour les parties de l’arrière, l’aileron et les prises d’air. Ce même contraste est décliné dans l’habitacle sauf que le cuir bleu translucide domine généreusement contrastant alors avec des coutures au ton gris clair. Et ? Et, voilà.

Source : Bugatti.

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Genève 2013 : BMW Série 3 GT

 

Elle est à présent belle et bien officielle cette troisième variante de Série 3. Elle c’est donc l’occasion d’y revenir un peu plus en détails et en chiffres : dimensions, motorisations, nouveautés…

BMW a donc appliqué à la Série 3 les recettes de la Série 5 Gran Turismo, soit officiellement mêler les aspects pratiques du break avec les gênes sportifs et dynamiques de la berline. Si l’on accepte volontiers les arguments de polyvalence et de modularité, les aspects dynamiques et sportifs sont moins évidents… A l’instar de la 5, la 3 GT est plus imposante que le break correspondant : +200mm en longueur (4824), +110mm (2920) en empattement et +81mm (1489) en hauteur. Une augmentation des proportions que le hayon fuyant ou les portes sans cadre ne peuvent totalement dissimuler. Le hayon abandonne la double ouverture de la Série 5, mais adopte un aileron mobile piloté.

En termes de design, la partie avant s’inscrit pleinement dans la gamme Série 3, mais avec quelques modifications subtiles de la calandre, des optiques ou du bouclier. Elle reçoit aussi de nouvelles ouïes derrière les roues avant. L’aérodynamique a été travaillée avec la présence à l’avant des « air curtains » générés au niveau du bouclier. Les ouïes latérales nommées Air Breather ont elles aussi une vocation aérodynamique et permettent d’évacuer l’air des passages de roues et de réduire la trainée aérodynamique. Le Cx a été amené à 0,29, mais la surface frontale reste supérieure, ce qui aura un impact sur les consommations, tout comme la masse forcément plus élevée (1.540 kg pour les versions les moins lourdes).

L’habitabilité, point faible traditionnel de la Série 3, sera en revanche un point fort de sa version GT. L’espace aux jambes augmenté de 70 mm est compris entre celui de la Série 5 et de la Série 7. La garde au toit augmente malgré une assise relevée de 59 mm. Et le coffre de 520 litres en affiche 25 de plus que le break… Un coffre accessible par le large hayon motorisé (avec éventuellement l’ouverture mains libres avec capteur sous le bouclier), et associé à une banquette en trois parties livrée de série. Les espaces de rangements sont plus nombreux pour les passagers arrière, et le double fond du coffre peut accueillir les deux  panneaux rigides qui font office de cache bagage.

La planche de bord est celle de la Série 3, et elle reprend le même principe pour la composition de la gamme : une version de base, trois lignes d’équipements Sport / Modern / Luxury et un pack Sport M.

La gamme mécanique reprend une partie de ce que l’on trouve dans la berline, avec 3 moteurs utilisant ce carburant (320i, 328i et 335i), contre seulement deux diesel (318d et 320d).

- 335i : 6 cylindres en ligne, 225 kW, 306 ch , 400 Nm, 0 à 100 km/h en 5″7, Consommation en cycle mixte de 8,1 l/100 km, émissions de CO2 de 188 g/km

- 328i : 4 cylindres en ligne, 180 kW, 245 ch , 350 Nm, 0 à 100 km/h en 6″1, Consommation en cycle mixte de 6,7 l/100 km, émissions de CO2 de 156 g/km (6,4 l/100 km et 149 g/km en automatique 8 rapports)

- 320i : 4 cylindres en ligne, 135 kW, 184 ch , 270 Nm, 0 à 100 km/h en 7″9, Consommation en cycle mixte de 6,6 l/100 km, émissions de CO2 de 153 g/km (6,2 l/100 km et 145 g/km en automatique 8 rapports)

- 320d : 4 cylindres en ligne, 135 kW, 184 ch , 380 Nm, 0 à 100 km/h en 8″0 Consommation en cycle mixte de 4,9 l/100 km, émissions de CO2 de 129 g/km

- 318d : 4 cylindres en ligne, 105 kW, 143 ch , 320 Nm, 0 à 100 km/h en 9″7, Consommation en cycle mixte de 4,5 l/100 km, émissions de CO2 de 119 g/km (4,8l/100 km et 127 g/km en automatique 8 rapports)

Rapidement, la gamme sera complétée par une 325d (160 kW / 218 ch / 450 Nm) et quatre versions dotées de la transmission intégrale xDrive (320i, 328i, 335i, 320d). Pour le reste, la GT reprend de la 3 les divers équipements de multimédia connecté ou d’aides à la conduite.

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